Elections législatives 2024, 1er tour : Anne Genetet

Notre interview d'Anne Genetet, candidate d'Ensemble ! pour le 1er tour des élections législatives de 2024.

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Pour permettre aux Français de Taïwan de mieux connaître les programmes des candidats pour le premier tour des élections législatives 2024 dans la 11ème Circonscription des Français établis hors de France, Insidetaiwan.net vous propose une série d’interviews exclusives. Ces interviews visent à offrir une plateforme où chaque candidat peut exposer ses idées et ses projets, vous aidant ainsi à vous forger une opinion avant de voter. Nous espérons que ces entretiens vous fourniront les informations nécessaires pour participer activement à ce processus démocratique.

Rencontrez Anne Genetet candidate.Ensemble ! (Renaissance, Horizons, MoDem) Retrouvez son programme en cliquant sur le lien suivant.

Bonjour pouvez-vous vous présenter pour nos lecteurs ? 

Bonjour et merci de me permettre de parler aux Français de Taiwan.

Je suis moi-même française de l’étranger depuis près de 20 ans et je réside dans la même région que vous, à Singapour.

En Juin 2017 puis en Juin 2022, j’ai été élue députée de la 11ème circonscription des Français de l’étranger, celle qui comprend Taiwan. Je siège au sein du groupe politique Renaissance qui a succédé au groupe La République en Marche.

Dès mon entrée à l’Assemblée nationale, j’ai siégé à la Commission des Affaires étrangères, celle qui a aussi en charge les Français de l’étranger. Mon travail a porté d’une part sur les relations internationales de la France, avec un focus sur notre région, et d’autre part sur le rôle de nos communautés françaises à l’étranger. Je me suis aussi attachée à faire connaître notre région, une zone cruciale à l’heure où le centre de gravité du monde s’est déplacé vers l’Asie, pour alerter sur les enjeux géopolitiques majeurs qui s’y déploient et qui ont un impact direct sur le quotidien des français en hexagone. Je pense à la liberté de circulation des biens, par exemple des microprocesseurs dont Taiwan est le 1er producteur mondial et dont nous sommes dépendants.

En 2022, j’ai rejoint la Commission de la Défense et des Forces armées. Face aux nombreux points chauds dans notre circonscription – Ukraine, Arménie, Iran, Mer de Chine – il m’a semblé opportun de travailler à l’importance de renforcer notre défense qu’elle soit militaire, civile et économique. J’ai notamment coordonné la Loi de programmation militaire 2024-2030, une loi qui va doubler notre effort de défense d’ici 2030. J’ai également présidé la délégation française à l’Assemblée parlementaire de l’OTAN et ai travaillé sur le rôle et l’influence de la France au sein de l’OTAN. Je viens d’ailleurs de remettre un rapport sur le sujet avec une quinzaine de propositions dont quelques-unes ne sont pas sur la même ligne que celle du Président de la République.

Présidente du groupe d’amitié France-Australie, je me suis engagée pour améliorer la relation entre nos deux pays. J’ai également soutenu des démocraties comme l’Ukraine et l’Arménie et je suis fière d’avoir fait voter une résolution qui dénonce le coup d’État de 2020 en Birmanie.

Sur un plan plus personnel, je suis médecin généraliste de formation et ai exercé différents métiers liés à la santé. Je suis mariée depuis presque 40 ans et mère de quatre garçons. J’ai toujours travaillé tout en m’engageant dans diverses associations toutes orientées vers le soutien aux plus vulnérables, notamment un foyer d’hébergement pour travailleurs migrants et des organisations visant l’émancipation des femmes en situation de précarité.

Pourquoi avez-vous décidé de vous présenter à ces élections législatives ? 

Pour continuer à mener les combats qui me tiennent à cœur et pour continuer à défendre nos valeurs que je juge menacées par les partis extrémistes.

Côté combats à mener, je défends une France humaniste, libérale et résolument européenne, une France qui créé de la richesse pour ensuite la redistribuer. Nous traversons une crise politique sans précédent dans un monde en mutation rapide. La France a plus que jamais besoin de stabilité. Malgré les imperfections, notre bilan est solide : 2 millions d’emplois créés, un record d’attractivité et d’investissements étrangers, notamment l’arrivée du géant Taiwanais ProLogium dans le Nord, créant 4 000 emplois. Nous avons réduit significativement nos émissions de gaz à effet de serre, amorcé la réindustrialisation, recruté 10 000 policiers, simplifié les démarches administratives pour les Français à l’étranger, développé notre réseau d’écoles à l’international, allégé la fiscalité de 50 milliards d’euros et renforcé notre appareil militaire. Nous préparons la France à relever les défis de demain. Mais il faut aller bien plus loin et inciter sans les punir, nos concitoyens les plus favorisés à tendre la main à ceux qui en ont terriblement besoin, sans fragiliser davantage nos finances publiques.

Je note avec une très grande inquiétude que les partis extrêmes propagent de fausses solutions. A l’extrême droite, c’est la préférence nationale et le repli du pays. Avec le « Nouveau Front Populaire » dominé par la France Insoumise, c’est une obsession pour les taxes et impôts supplémentaires qui vont ruiner tous nos efforts de compétitivité gagnés ces dernières années et baisser le pouvoir d’achat de tous. En optant pour la démagogie et le déclin, ces deux extrêmes garantissent une catastrophe économique et l’isolement international de notre beau pays. Leurs programmes ne sont ni crédibles, ni sincères, ni financés, et encore moins souhaitables pour notre pays.

Les Français à l’étranger comprennent bien les enjeux auxquels nous faisons face. Depuis sept ans, je fais entendre leur voix sur les questions internationales et de défense, essentielles à notre avenir. Mon expérience et mon engagement depuis 2017 me placent en première ligne pour représenter notre circonscription à l’Assemblée nationale, surtout en ces temps troublés. Les défis à venir sont énormes, mais ensemble, unis, nous pourrons les surmonter.

Pourquoi vous présentez-vous dans la 11ème circonscription des Français de l’étranger ?

Parce que j’y vis depuis 2005 contrairement à un certain nombre de candidats et parce que cette circonscription me passionne ! Ce n’est pas la plus facile car la 11e circonscription des Français établis hors de France compte 49 pays d’Asie, d’Océanie et d’Europe orientale. C’est la plus vaste circonscription législative française ! Je m’y déplace à chaque fois que l’Assemblée à Paris suspend ses travaux puisque le reste du temps, j’ai une obligation de présence à l’Assemblée tous les mercredis matin.

Mais rien que l’année dernière, je me suis rendue en Australie, au Japon, en Ukraine et en Arménie à plusieurs reprises mais aussi en Thaïlande, à Hong Kong, en Chine, en Inde et en Moldavie à la rencontre de nos communautés ou au sein de délégations présidentielle, ministérielle ou avec la présidente de l’Assemblée nationale. Je suis d’ailleurs venue à Taïwan en janvier 2023 pour inaugurer le lycée international français de Taipei. Cette circonscription, je la connais bien et j’ai encore beaucoup de projets à y mener ! Mon engagement et ma présence sur le terrain témoignent de ma détermination à représenter efficacement nos compatriotes.

Quels sont les 3 axes importants de votre programme ?

La priorité doit être de continuer à bâtir un nouveau modèle de développement, basé sur une écologie des solutions et non des sanctions. Contrairement à l’approche punitive prônée par la gauche, qui a souvent produit des effets contraires à ceux escomptés, notre programme écologique est inclusif et pragmatique.

Depuis 2017, nous avons réalisé des avancées majeures : nous avons doublé les financements pour la rénovation énergétique, interdit les passoires thermiques et mis fin à la création de nouveaux puits de pétrole. Nous avons lancé notre propre filière d’éoliennes en mer avec déjà 3 pars lancés et plusieurs autres en cours de déploiement. En 2024, nous avons alloué un montant record de plus de 40 milliards d’euros à la transition écologique. Grâce à ces efforts, nous avons réduit nos émissions de gaz à effet de serre trois fois plus rapidement que sous les gouvernements précédents.

Ainsi, je défends un modèle de développement qui marie croissance économique et durabilité environnementale, en s’inspirant des meilleures pratiques internationales pour promouvoir l’innovation verte et réindustrialiser notre pays. Sur le plan économique, je soutiens des initiatives visant à renforcer notre attractivité, notre compétitivité et notre commerce extérieur, des sujets cruciaux pourtant inexistants dans cette campagne.

Il est essentiel de rappeler que répartir les richesses est une ambition louable, mais encore faut-il commencer par en créer ! En observant des modèles comme Taïwan ou la Corée du Sud, on comprend vite que le monde a changé et que la compétition mondiale est plus féroce que jamais. Ignorer cette réalité mettrait en péril la prospérité de notre pays. C’est pourtant ce que font le RN et Front Populaire.

Ma deuxième priorité concerne la compétition internationale qui se joue dans le domaine des relations internationales et de la défense. Face au retour des États puissances et aux ambitions impérialistes, ces sujets sont vitaux. Nous ne pouvons pas être naïfs face à ces menaces. Depuis 2017, nous avons réarmé la France. J’ai coordonné la loi 2024-2030 à l’Assemblée nationale pour doubler le budget de nos armées d’ici 2030. La France doit rester maîtresse de son destin, capable de défendre ses intérêts et ses valeurs, et notamment des valeurs de paix. C’est ce qu’elle fait à la fois sur le terrain par exemple en mer de Chine et à travers le Forum de Paris pour la Paix qui se tient tous les ans en Novembre depuis 2017, une initiative française.

Nous devons préserver notre capacité à nous déployer en Indopacifique, ceci pour garantir la liberté de circulation maritime et lutter contre la piraterie. C’est ce que nous faisons par exemple lorsque la frégate Prairial traverse le détroit de Taïwan lors d’exercices militaires chinois visant à encercler l’île.

Sur ces sujets essentiels, il est très inquiétant que les oppositions restent muettes. Le programme du Front Populaire très largement inspiré de celui de la France Insoumise qui a réussi à imposer sa vision et ses diktats, ne propose rien sur la défense malgré les dangers actuels. Sans doute la traduction de profondes divergences en leur sein : ils ne sont d’accord sur rien, ni sur les moyens alloués à nos armées, ni sur le soutien à l’Ukraine, ni sur l’OTAN, ni sur l’Europe et la défense européenne, ni sur la dissuasion nucléaire, et encore moins sur Taïwan. Comment faire confiance à des gens aussi incohérents ?

Les enjeux pour la France sont majeurs et nous ne pouvons pas faire preuve de désinvolture. Le projet du Front Populaire est un accord électoral, totalement favorable à la France Insoumise sur le plan comptable et programmatique. Je trouve très inquiétant d’imaginer qu’une personnalité comme Jean-Luc Mélenchon ou l’un de ses acolytes puisse gouverner, provoquant une véritable rupture de la politique internationale de la France et dégradant notre influence et notre rôle.

Quant au Front National, leurs députés sont peu actifs en Commission de la Défense. Sur l’international et l’Europe, nos positions sont diamétralement opposées. Rien ne garantit qu’au pouvoir, ils n’auraient pas soutenu la Russie contre l’Ukraine. La fascination des extrêmes de droite comme de gauche pour les régimes autoritaires doit nous inquiéter au plus haut point.

Ces enjeux sont cruciaux pour l’avenir de la France. Nous devons rester fermes et cohérents, assurer notre défense et maintenir notre influence sur la scène internationale.

Enfin ma troisième priorité concernera les Français à l’étranger. J’observe que le travail que j’ai mené a modifié très positivement le regard sur eux de notre groupe politique, du gouvernement et des administrations depuis 2017. D’autre part, je voudrais que nos différentes initiatives internationales (diplomatique, économique, culturelle, éducative, académique, innovation) s’appuient davantage sur nos communautés françaises à l’étranger. Je pense que depuis 2017 la situation s’est clairement améliorée mais qu’il reste encore beaucoup à faire. Je pense à la simplification administrative, au soutien à notre réseau d’écoles à l’étranger ou encore à la protection sociale. On peut faire mieux, aller plus loin.

Ceci étant dit, attention aux bonimenteurs qui voudraient faire croire aux électeurs qu’avec eux, l’argent coulera à flot pour les Français à l’étranger. C’est une farce. Le RN, comme tous les partis de gauche ont un profond mépris pour les Français à l’étranger qu’ils jugent avoir les poches pleines, être des nantis, voire des exilés fiscaux. L’une des premières mesures de François Hollande dès son arrivée à l’Elysée en 2012 a été de créer une taxe supplémentaire pour les non-résidents, cela en dit long ! La France Insoumise, les communistes, une partie des écologistes et le nouveau parti anticapitaliste donc une très large majorité du Front populaire sont obnubilés par l’impôt universel et recherchent toutes les voies et moyens pour créer une taxe qui s’en approcherait. Dès qu’ils le pourront, cette nouvelle taxe injustifiée sera mise en place.

Que ferez-vous pour les Français de l’étrangers, en tant que représentant de cette circonscription ?

Je suis déterminée à poursuivre le travail déjà entrepris pour vous. En matière de communication et de transparence, je rédige chaque mois un compte rendu détaillé de mes actions et des activités de l’Assemblée nationale. Mon site internet, qui compte plus de 600 articles, est une véritable mine d’informations pour les Français de l’étranger. J’organise presque chaque mois des sessions de questions-réponses en direct vidéo, et mon équipe et moi répondons chaque semaine à des centaines de mails. Nous traitons une multitude de dossiers bloqués que j’aide à résoudre : pension de retraite non versée, retraite non liquidée, retard de remboursement de la Caisse des Français à l’étranger, erreur dans un calcul d’impôt, bourse scolaire non octroyée, difficulté à récupérer ses droits maladie au retour en France, etc. J’accompagne également parfois des entrepreneurs Français à l’étranger dans leurs projets, les aidant à investir en France et à créer des emplois, en les orientant vers les services appropriés.

Les défis pour améliorer la mobilité internationale sont nombreux. En 2018, j’ai remis au Premier ministre Édouard Philippe un rapport avec 215 propositions pour faciliter la vie des Français à l’étranger sur des sujets comme la fiscalité, la protection sociale, et la simplification administrative. Beaucoup a été accompli, mais il reste du travail. Par exemple sur la base de mon rapport, la plateforme France Consulaire, conçue pour répondre aux questions administratives des Français à l’étranger, a été créée et elle sera déployée en Asie-Pacifique début 2025. Nous avons voté plusieurs augmentations budgétaires pour renforcer les consulats, dont l’ouverture récente d’un nouveau consulat à Melbourne. Nous avons aussi rendu possible le vote par Internet et créé le STAFE, un fonds de soutien aux projets associatifs. Je continuerai à me battre pour la simplification et la numérisation des procédures, des enjeux essentiels pour tous. Enfin, je me préoccupe beaucoup des enjeux de sécurité pour nos compatriotes à l’étranger.

Comment favoriserez-vous le rapprochement entre la France et Taïwan ?

J’ai d’excellentes relations avec la représentation taiwanaise à Paris. Je les rencontre régulièrement, en particulier M. François Wu, qui était le représentant de Taiwan en France et qui est désormais Vice-ministre des Affaires étrangères. J’ai soutenu l’entrée de Taiwan dans l’Organisation Mondiale de la Santé, ce qui a fait l’objet d’une résolution à l’Assemblée nationale, comme médecin cela me semblait évident car les maladies ne connaissent pas la géographie politique. Il me semble que c’est dans les domaines économiques et culturels que la France et Taiwan peuvent encore se rapprocher. Il faut que les entreprises françaises investissent davantage à Taiwan et inversement.

Je suis ravie de l’arrivée de ProLogium dans la Vallée de la Batterie, qui fera de la France le leader européen des batteries. Par ailleurs, nous pouvons encore attirer davantage de touristes taiwanais et surtout d’étudiants. C’est clairement un axe à développer. L’ouverture d’une section française dans une école publique de Taipei est un très bon exemple d’approfondissement de la relation.

Quel est votre position sur la situation de Taïwan ?

Ma position sur Taïwan est claire. Je soutiens fermement le statu quo et le développement de relations solides. Cela m’a valu d’être parfois ostracisée mais j’ai eu l’occasion de m’en expliquer avec un haut responsable politique à Pekin : la République Populaire de Chine a, autant que nous, tout intérêt à assurer une totale liberté de circulation dans le détroit de Taiwan. La France est une puissance de paix et elle a un rôle à jouer pour décourager toute utilisation de la force ou de la coercition. L’intérêt de la France, c’est aussi de poursuivre nos échanges commerciaux et nos investissements avec Taïwan. Enfin, l’intérêt de la France c’est que sa communauté continue à se développer à Taiwan dans les meilleures conditions, y compris de sécurité. La France se doit d’être particulièrement vigilante et intransigeante sur l’évolution de la situation.

Ceci étant dit, j’évoquais plus tôt les dissensions au sein du Front Populaire. Je rappelle que la France Insoumise a toujours eu des positions hostiles à l’égard de Taïwan. Lors de la visite de Nancy Pelosi, Jean-Luc Mélenchon a qualifié cet événement de provocation américaine et a affirmé que « Taïwan est une composante à part entière de la Chine ». Franchement, j’ai bien du mal à comprendre comment, en particulier dans notre circonscription, il est possible de s’allier avec des gens qui tiennent ce genre de positions, les mêmes qui sont très ambigus concernant le soutien à l’Ukraine. Quand au RN, ses dirigeants entretiennent des relations de proximité avec le régime de Pékin, entre admiration et soutien

Je n’oublie pas que Taiwan est une démocratie dynamique – ce qui est rare dans la région – et que nous partageons de nombreuses valeurs sociétales et de progrès. Ainsi, en tant que députée, je suis déterminée à continuer de défendre ces principes, en maintenant des relations constructives et équilibrées avec Taïwan et en veillant à ce que les intérêts des Français de Taïwan soient toujours pris en compte.

Un dernier mot pour inciter nos concitoyens à aller voter ? 

Cette élection est décisive pour la France. Plus que jamais, il est essentiel que les Français de l’étranger fassent entendre leur voix et participent activement à la construction de notre avenir commun. Beaucoup d’entre nous aspirent à une France humaniste, libérale et résolument européenne, fidèle à ses valeurs fondamentales : liberté, égalité, fraternité, laïcité et vérité.

Beaucoup d’entre nous croient en une France qui favorise l’innovation et la liberté d’action grâce à la confiance et à la bienveillance. Ensemble, nous pouvons construire une France où chacun trouve sa place et contribue au rayonnement de notre pays.

Une partie de notre avenir se décide dimanche 30 juin. Je pense être la candidate la mieux placée pour défendre cette vision partagée par beaucoup d’entre vous. Je suis déterminée à promouvoir une France attachée aux valeurs républicaines, ferme sur les questions régaliennes, ouverte sur le monde et engagée pour une Europe forte.

Il reste encore beaucoup de combats à mener pour vous et pour notre pays.

Vous pouvez compter sur moi, avec détermination et bienveillance, sans insulte ni violence. Je veux dire à nos compatriotes : voter, c’est exercer votre pouvoir de citoyen et participer activement à la construction de notre nation. La France met tout en place – et il faut le souligner – pour permettre à nos concitoyens de pouvoir voter, y compris avec le vote par Internet alors ne laissez pas passer cette chance.

*Les propos tenus dans cette interview n’engagent que le candidat et ne reflètent pas les opinions politiques de la rédaction d’Insidetaiwan.net. La rédaction d’Insidetaiwan.net a invité tous les candidats à répondre à ses questions. Malgré nos relances, certains ont refusé de participer et d’autres n’ont simplement pas donné suite.


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