La désinformation chinoise s’illustre une fois de plus. Après l’accident de voiture en Australie impliquant la jeune millionnaire d’origine chinoise Yang Lanlan, des internautes pro-Pékin ont lancé une rumeur affirmant qu’elle serait Taïwanaise, avec des liens supposés avec des figures politiques du pays. Rapidement, les internautes taïwanais ont démonté cette intox point par point, révélant la mécanique bien rodée de Pékin : détourner l’attention, salir l’image de Taïwan et alimenter la propagande à l’international.
Une rumeur ciblée
L’affaire de Yang Lanlan, jeune héritière chinoise impliquée en Australie dans un grave accident de voiture, illustre une nouvelle stratégie de désinformation. À peine l’affaire relayée dans les médias, des comptes liés au nationalisme chinois ont massivement diffusé la rumeur selon laquelle la jeune femme serait Taïwanaise, inventant même des liens avec des responsables politiques du Parti démocrate progressiste (DPP).
Ce type de manipulation ne vise pas à éclairer le public, mais à associer des comportements scandaleux à Taïwan afin de nuire à son image sur la scène internationale.
Une fake news rapidement démontée
Les internautes taïwanais ont rapidement démonté la rumeur, preuves à l’appui.
- Le supposé père de Yang Lanlan, « Yang Zhengxiong », n’existe pas dans les registres d’entreprises ou de fondations à Taïwan.
- Les prétendus liens familiaux avec des responsables politiques sont totalement inventés.
- Les informations diffusées provenaient de comptes anonymes sur les réseaux sociaux chinois, connus pour propager des récits coordonnés.
Malgré ces démentis, la rumeur a continué de circuler, illustrant la mécanique classique de la guerre cognitive : saturer l’espace d’informations fausses pour brouiller la vérité.
Un schéma récurrent de propagande
Ce cas s’inscrit dans une stratégie plus large menée par Pékin pour discréditer Taïwan à l’étranger.
- Associer Taïwan à des affaires judiciaires ou de corruption.
- Diffuser des récits émotionnels pour provoquer la colère ou le dégoût.
- Accuser les Taïwanais de mener des « guerres de l’opinion » financées par l’État.
Ce type de propagande joue sur les tensions existantes dans le monde chinois et tente de détourner l’attention des responsabilités réelles. En réalité, de telles manœuvres montrent surtout que l’image positive de Taïwan dérange et nécessite, aux yeux de Pékin, d’être attaquée.
A retenir
- 📰 La rumeur accusait faussement une héritière chinoise d’être Taïwanaise.
- 🔍 Les internautes taïwanais ont prouvé qu’il s’agissait d’une pure invention.
- 🎯 L’objectif était de salir l’image de Taïwan à l’international.
- ♻️ La désinformation a continué malgré les preuves contraires.
- 🧠 C’est un exemple clair de guerre cognitive menée par Pékin.

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