Salut les adeptes de métal ! Oubliez le Taiwan des cartes postales. Vous kiffez CHTHONIC ? Préparez vous, car l’île en forme de patate douce a bien plus à offrir. Des sous-sols enfumés de Taipei aux festivals en plein air, la scène métal taïwanaise est aussi brutale et variée qu’un hot pot gore. Alors, accrochez vous, on vous emmène dans le vrai tourbillon des métalleux de Taiwan. Et il y en aura pour tous les styles et tous les goûts🤘
Ashen
Hey les metalleux, vous avez une minute? Pas besoin d’un opéra-rock de 30 minutes pour être épique. Ashen, ce combo de death metal dément, vous sert des baffes sonores en moins de temps qu’il ne faut pour dire « mosh pit »! C’est rapide, c’est brutal et c’est tout sauf ennuyeux. Pas de chichi, pas de goregrind, juste de la pure brutalité servie sur un plateau d’argent.
Brain Corrosion
Si vous cherchez du death/grind en provenance de Taiwan, ne cherchez plus : Brain Corrosion est là pour vous retourner la tête ! Ces mecs ne font pas dans la dentelle : leur style, qu’ils ont baptisé « Jiangshi Grind », vous emmène dans les légendes les plus sombres de la culture chinoise. Vous savez, ces cadavres réanimés qui sautillent, dirigés par des prêtres taoïstes ? Non ? Alors, matez « Mr. Vampire » ou « Rigor Mortis » et revenez me voir.
Ripped to Shreds
Ripped to Shreds, le monstre de death metal exporté par Taiwan, a désormais conquis la baie de San Francisco. Oui, vous avez bien lu ! Andrew Lee, l’homme derrière cette bête furieuse, fait des ravages sur deux continents avec deux line-ups distincts, comme si un seul n’était pas assez pour canaliser toute cette fureur. Leur musique est comme un film de guerre en IMAX, mais pour vos oreilles. Donc, si votre playlist manque cruellement de riffs déchirants et de growls à vous faire dresser les cheveux sur la tête, il est temps de vous plonger dans le monde épique de Ripped to Shreds
SIDEFFECT (賽德費)
Si vous aimez Whitechapel et que vous aimeriez que plus de groupes de deathcore leur ressemblent, surtout au niveau du chant – avant l’époque de Our Endless War, avec des refrains moins répétitifs et plus de dissonance générale – alors Taiwan vous couvre avec leur reproduction du style sous la forme de SIDEFFECT. Les thèmes de chansons agressifs qui donnent l’impression que le chanteur est sur le point de se battre à coups de poings sont la norme. Pour un deathcore plus brutal, vous pouvez également écouter Beyond Cure, un groupe qui a été comparé à Suicide Silence au début de sa carrière avant de se transformer en quelque chose de tout à fait unique.
Maggot Colony (蠅蛆殖民地)
Si le légendaire « Pulse of the Maggots » de Slipknot vous laisse un petit goût d’inachevé, laissez-moi vous présenter ces maîtres du death metal brutal qui vont vous en mettre plein les oreilles ! Ces gars-là abordent votre système auditif comme un boucher maniant sa scie : en découpant, déchiquetant et dévorant tout sur leur passage. Et ils ne sont satisfaits que lorsque votre chair sonore est mise à nu, prête pour le festin !
Fetus Slicer
Vous pensiez avoir tout entendu en matière de gore et de décadence ? Eh bien, attachez vos ceintures de sécurité (ou plutôt, vos ceintures à clous) parce que Fetus Slicer, ces maniaques du goregrind venus de Taiwan, vont vous emmener en excursion dans les tréfonds de l’horreur. Avec des titres d’albums comme « Rotten Infant Phenomenon », ils vous plongent tête la première dans un cauchemar auditif digne d’une salle d’opération abandonnée et mal nettoyée. Imaginez un trip lugubre sous un drap de chloroforme sonore !
Gore Pot (血麻)
Voici Gorepot, le combo taïwanais qui fusionne le grind et le stoner metal de manière tellement originale que vous vous demanderez pourquoi personne n’y a pensé avant ! Dans leur discographie, vous trouverez des pépites aux titres aussi évocateurs que « In Pot We Trust » ou « All You Can Smoke » qui vous plongent direct dans l’univers du cannabis, façon metal ! Et quand ils ne sont pas en train de rendre hommage à la weed, ils vous balancent des titres WTF comme « School Girl Sashimi » ou l’alarmant « Things Asians Do When They Are Done With Homework ». Parce que pourquoi pas ?
Fatuous Rump (笨屁肥臀)
Les trois brutes derrière cette machine sonore ne sont pas des débutants. Ces mecs ont déjà fait leurs armes avec Gorepot et Maggot Colony, donc attendez-vous à un son qui mord ! Avec eux, c’est un cocktail détonant de slam et de groove qui vous fera hocher la tête jusqu’à la rupture cervicale !nLeur album « Propagation of the Foul » de 2017, c’est comme se prendre un camion-benne de riffs déchaînés et de blast beats massifs en pleine tronche pendant 25 minutes d’extase auditive. Et si vous avez envie de prolonger le massacre, allez écouter « Brutality » de 2019, qui explore encore plus loin les abysses du death grind.
Guttural Corpora Cavernosa
Si vous pensez avoir tout vu en matière de metal, attendez d’entendre des titres comme « They Would Wiggle and Squirm ». Ça pourrait bien être ce que vous murmuriez en sortant de votre lobotomie imaginaire, un sourire maso aux lèvres. Et si vous arrivez à la fin de cet album perturbant et que vous êtes encore capable de dire « Anyway, I Had a Good Time », alors bravo ! En résumé, Guttural Corpora Cavernosa c’est comme une visite guidée dans un asile de fous dirigé par des maniaques.
Emerging from the Cocoon (破繭而出)
Préparez-vous à être emportés dans un vortex interdimensionnel d’extrême brutalité ! On ne parle pas d’un Mothra cute qui éclot du cocon, mais d’une créature métallique bien plus vicieuse qui veut vous arracher la face ! Ce groupe a l’audace de fusionner des éléments de science-fiction et de métal lourd dans un cocktail détonant.Que vous sortiez d’un cocon, d’un œuf alien, ou que vous soyez téléporté d’une autre dimension, cette musique démente s’assurera que vous ne serez jamais le même après !
Bloody Tyrant (暴君)
Si vous pensez que le folk et le black metal ne peuvent pas s’entendre comme l’huile et l’eau, alors vous n’avez pas encore croisé la route de Bloody Tyrant, les féroces faiseurs de métal de Nantou ! En 2012, ils ont pris le risque de mélanger du métal avec des instruments traditionnels. Ouais, vous avez bien entendu. Imaginez un pipa — un truc qui ressemble à un banjo sous stéroïdes — s’incruster dans leur morceau « The Overture of Sun Moon Lake ». Et comme si ça ne suffisait pas, ils ont poussé le vice en ajoutant une flûte chinoise dans « The Legacy of Sun Moon Lake ». Le résultat ? Un cocktail musical qui est autant sinocentrique que totalement heavy !
Flesh Juicer (血肉)
Asseyez-vous et accrochez-vous, parce que Flesh Juicer va vous faire vivre une montagne russe musicale que vous n’êtes pas prêts d’oublier ! Imaginez, si vous pouvez, du deathcore lourd comme un parpaing mélangé à de la musique religieuse traditionnelle taïwanaise — le tout saupoudré d’une pincée d’électronique démentielle. Ouais, c’est aussi sauvage que ça en a l’air ! Ces dieux du métal taïwanais sont en tournée constante et peuvent facilement remplir des salles de fans surexcités qui ne peuvent pas en avoir assez de leur son unique. Bonne chance pour mettre la main sur leurs produits dérivés, qui se vendent comme des petits pains chauds en l’espace de quelques heures !
Infernal Chaos
Jesse « Black » Liu, ce virtuose de la six-cordes de Chthonic et titulaire d’un Golden Melody, nous apporte du lourd avec son nouveau groupe de métal qui fracasse tout sur son passage ! Et quand on dit « lourd », on parle de morceaux qui vont vous écraser comme une enclume sur une boîte de conserve ! Leurs morceaux mettent le feu aux poudres avec des thèmes lyriques qui crachent à la face de notre société désillusionnée. Jesse et sa bande ne font pas dans la dentelle : ils secouent le statu quo et le jettent par terre !
Body on the party
Vous voulez de l’innovation ? Ce groupe mixéede l’electronica démente avec des lyrics qui vous collent au cerveau comme un tatouage sur la langue ! Et en concert !!! Vous n’avez pas encore vu ces furieux sur scène ! Imaginez un show qui est l’équivalent d’un volcan en éruption, mais avec des guitares et des synthés à la place de la lave. Ils ne sont pas juste « bons », mes amis, ils sont carrément phénoménaux. Vous vous rappelez la dernière fois qu’un groupe a vraiment capté votre attention ? Oubliez ça. Ces gars-là vont vous hypnotiser, vous secouer et vous recracher, en redemandant encore !
Burning Island (火燒島)
Vous en avez assez des groupes qui se contentent de gratter quelques accords ? Rencontrez ces orfèvres du métal taïwanais, maîtres dans l’art de balancer des vidéos qui vous mettent une claque visuelle tout en décortiquant la politique locale comme un chirurgien armé d’une guitare électrique. Mais attendez, y a du rebelle dans l’air ! Alors que tout le monde s’égosille en mandarin, ces mecs déchainés nous balancent leurs hymnes en taïwanais, un dialecte bien local, mes amis ! Leur raison ? Au début, ils trouvaient juste ça « cool », mais maintenant, c’est devenu leur moyen d’exprimer tout le spectre de leurs émotions inflammables.
Greedy Black Hole
Greedy Black Hole, un phénomène si puissant qu’il va sucer tout votre ennui et le cracher sous forme de riffs déchaînés. Et tenez-vous bien, ce vortex de lourdeur est piloté par une femme, ouais, vous avez bien entendu ! Une nana à la barre, et elle envoie du lourd ! Le nom du groupe, « Greedy Black Hole », ce n’est pas juste pour faire joli. C’est une métaphore filée sur comment notre cupidité à nous, les humains, pourrait bien nous conduire à notre propre apocalypse, un peu comme un trou noir qui engloutit tout sur son passage. Vous voyez le tableau ? La destruction de l’humanité mise en musique, et ça sonne incroyablement bien !
Crescent Lament
je vous présente le crème de la crème du métal symphonique taïwanais ! Écoutez bien : ces maestros ont reçu la bénédiction divine de la déesse du métal elle-même, la légendaire Doris de Chthonic. Imaginez un cocktail explosif de voix féminines célestes, de riffs lourds comme une enclume et d’instruments traditionnels comme l’erhu — ce violon chinois à deux cordes. Ça vous donne un son tellement taïwanais qu’il pourrait être servi dans un night market !
beyond cure
Laissez-moi vous présenter Beyond Cure, le groupe qui a inventé — ouais, vous avez bien entendu — le stoner metalcore ! Ces mecs existent depuis 2006, et croyez-moi, ils ont eu le temps de peaufiner leur son à un point où même un diamant pourrait en avoir honte ! Au menu ? Des paroles qui vous frappent en plein visage comme une batte de baseball et des rythmes tellement brutaux qu’ils pourraient découper du béton. On parle d’une expérience auditive tellement riche qu’elle pourrait être cotée en Bourse !
Vous n’aimez pas le métal ? Pas de souci insidetaiwan.net a pensé à vous et vous proposé une liste de groupes Pop/rock taïwanais à découvrir.
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